Les œuvres

Le peintre des tours, des protections et des systèmes de signalisation lisait avec plaisir dans la réflexion d’Erwin Panofsky :

„… que nous touchons à quelque chose qui est une sorte de responsabilité sociale que l’habitant de la tour a, n’ont pas « malgré que », mais « parce que » il réside dans la tour. La tour de la séparation, la tour du bonheur égoïste, de la méditation, de la réflexion, de la sérénité et de la paix, cette tour est en même temps la tour de guet.“

On est ici proche de la position à laquelle Josef Wagner est arrivé après vingt ans de sa recherche. Son chemin à travers des paysages l’a conduit d’images purement formellement conçues et expérimentales, à travers des grandes zones colorées dérangeantes et déprimantes, jusqu’à la vision de l’homme, de soi-même. En même temps, le visage humain imprègne tout son œuvre, des physionomies émergent au terme d’une longue série d’évolutions, d’un chemin difficile dans la formation de sa personnalité.

D’après le texte de l’historien de l’art et poète Jan Mario Tomeš 1986